Si comme Dieu, j’avais en mains le firmament,
je le démolirais sans doute promptement,
pour bâtir à sa place, enfin, un Nouveau Monde
où pour les braves gens tout viendrait aisément.
Omar Khayyam
Si comme Dieu, j’avais en mains le firmament,
je le démolirais sans doute promptement,
pour bâtir à sa place, enfin, un Nouveau Monde
où pour les braves gens tout viendrait aisément.
Omar Khayyam
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Merci infiniment pour ce magnifique poème. Il se trouve, en plus, que j’ai une profonde admiration pour ce poète traduit dans plusieurs langues. Il s’adresse à tout le monde.
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J’ai mis du temps pour comprendre le lien entre le dessin, le titre de mon article et le quatrain du poète que tu as choisi. C’est le résultat de ma méditation.
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